Lorsque la Mort viendra me prendre,
Je veux la voir venir.
Dès que mon corps sera enfui,
Je voudrais la sentir.
En entendant le son des cloches
Qui pleurent silencieusement,
En percevant les pleurs des hommes
Qui meurent en s’enterrant,
Et quand mon heure sera venue,
J’attendrai en riant.
C’est demain que mes chairs et sang,
Dans le silence glacial,
C’est demain que mon âme libre,
À travers le brouillard,
C’est demain qu’ils devraient s’étendre,
Car ma vie est malade.
Lorsque la Mort viendra me prendre,
C’est moi qui la prendrai.
Dès que mon corps sera enfui,
Je lui donnerai la vie.
"Peu importe la vitesse à laquelle tu avances tant que tu ne te retournes pas..."
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Amicalement,
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